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Avant de signer un viager : les trois réflexes qui changent tout

Quand on parle viager, on imagine souvent des calculs d’espérance de vie, des bouquets et des rentes.

Mais avant de sortir la calculette, il y a trois réflexes à adopter pour ne pas se retrouver dans une impasse quelques années plus tard.

1. Vérifier la solidité de l’acheteur
Le viager, c’est un contrat longue durée. Si l’acheteur n’est pas capable de tenir ses engagements financiers sur 10, 15 ou 20 ans, vous risquez des impayés… et des procédures. Un bon réflexe : demander des justificatifs de revenus, un relevé de patrimoine, et pourquoi pas une garantie type hypothèque ou assurance impayés.

2. Poser les bases du contrat noir sur blanc
Chaque clause compte. Qui paie la taxe foncière ? Comment sont indexées les rentes ? Que se passe-t-il si l’acheteur cesse de payer ? Le notaire peut intégrer une clause résolutoire : c’est elle qui permet de récupérer le bien tout en conservant le bouquet et les rentes déjà versées. C’est une protection, mais seulement si elle est bien rédigée et applicable.

3. Anticiper l’impact fiscal et successoral
Vendre en viager, c’est aussi décider comment on transmet (ou non) son patrimoine. Selon votre situation, cela peut alléger votre fiscalité… ou au contraire générer une imposition inattendue. Un passage chez un notaire ou un conseiller fiscal avant de signer, c’est un coût, mais c’est aussi une tranquillité d’esprit.

Chez 2nd Market Viager, on n’est ni juge ni partie. On met à disposition les outils (simulateurs, check-lists, modèles de clauses) pour que vous sachiez exactement où vous mettez les pieds.

L’objectif : vous donner un peu de contrôle dans un marché où l’information circule mal et où la négociation se fait souvent à l’aveugle.